samedi 27 septembre 2008

trophee jeunes talents "yountiss"


Les talents nazairiens
sous les feux de la rampe

Vous avez entre 12 et 20 ans, un talent manifeste dans un domaine artistique ou sportif... Eh bien inscrivez-vous au Trophée jeunes talents. Dépêchez-vous, il ne vous reste que quelques jours...


« Ça ressemble à la Star’ac, mais c’est tout », lancent, sans compromis, Pascal Bouquerel, animateur et écrivain, Christophe Bonhomme, musicien, compositeur et interprète, et le boxeur Badre Belhaje, vice-champion du monde 2008 et également animateur. Les trois piliers du Trophée jeunes talents. Trois “hyper actifs” sur la même longueur d’ondes. Ce qu’ils veulent ? Mutualiser toutes les énergies artistiques qui se bousculent à Saint-Nazaire, et elles sont légion. Mettre en lumière ces jeunes pousses au potentiel manifeste, leur donner une chance. Une chance de monter sur scène, de se confronter à un public. Bref, « leur offrir une petite part de rêve. Sans leur promettre monts et merveilles, et sans avoir la prétention aucune d’en faire des stars ». Ce projet, il germe dans la tête de Badre depuis seulement huit mois ! Au départ, ses desideratas étaient moindres. Mais gourmand de nature, il n’a pu se contenter d’un simple “concours de la chanson”. « C’est sûr, on a attaqué fort, mais il faut savoir surprendre pour intéresser. » Et sur ce coup-là, chapeau bas... L’association Yountiss a fait les choses dans les règles de l’art ; “campagne de com” dans tous les quartiers de Saint-Nazaire, dans les clubs de sports, les structures culturelles et sociales, inscriptions jusqu’au 28 septembre, pré qualifications à partir du 14 octobre ; les artistes d’un jour n’auront que trois minutes pour faire montre de leur génie artistique, toutes disciplines confondues : cirque, chant, danse, freestyles, magie, théâtre... « Sur la cinquantaine de jeunes inscrits à cette heure (il n’est pas encore trop tard), seuls quinze pourront participer à la finale, qui se déroulera le 4 novembre à la salle Jacques-Brel. Et ce, sous les regards avisés de parrains et marraines de hautes tenues, de très hautes tenues même... Une vingtaine, « dix locaux, dix internationaux » qui les conseilleront, les accompagneront, les encourageront dans leurs choix artistiques, si besoin est. Seront présents des sportifs (Elamin Erbate, Stéphane Cazeaux), des chanteurs (Jimmy Oihid, Abbé Mase, les Breizoulous), des cinéastes, journalistes, cascadeurs... « On se réserve Gad El Maleh pour l’année prochaine », sourient nos trois compères, espérant au fond d’eux-mêmes que ce rêve se concrétise. Puisque bien décidés à faire de cet événement un rendez-vous annuel, « sans tomber dans l’excès de la Star’ac ». Pas de crainte là-dessus...
Marie Bulteau


Contact : www.trophée-jeunes-talents.com, yountiss@yahoo.fr, 06 61 31 48 55.

Badre BELHAJA est un boxeur franco-marocain qui a de la suite dans les idées. "yountiss"


Badre BELHAJA est un boxeur franco-marocain qui a de la suite dans les idées.

En parallèle de son activité, boxeur pro et animateur au sein de l'office municipal de la jeunesse, il a lancé en 2008 une association consacrée à la promotion des sportifs et des artistes; l'association porte le nom de la marque yountiss crée par badre . Ainsi yountiss a trouvé un statut associatif qui développe les objectifs de l'association tout en développant ce concept de marque de sport yountiss.

Le boxeur nazairien est aussi énergique sur le ring que dans la vie.

Depuis son arrivée en France, il ne cesse de produire, créer, développer des idées et des projets tout en croyant à la participation de son entourage, et à ce qu'il fait.

La création de l'association yountiss jeunesse promotion :

Avec son ami Christophe Bonhomme, artiste du groupe nantais Breizoulou, ont décidé de donner un coup de pouce aux jeunes qui désirent se lancer dans une carrière sportive ou artistique. Badre et Christophe viennent d'officialiser leur association, baptisée Yountiss Jeunesse Promotion. « Notre but est de valoriser, responsabiliser et concrétiser des projets de jeunes sportifs et artistes. »

Et actuellement, on finalise avec Pascal Bouquerel animateur professionnel et artiste, notre premier grand projet. En l'occurrence organiser un concours, avec présélection, à l'intention des jeunes artistes et sportifs, et remettre au gagnant le premier trophée Jeunes talents 2008 Yountiss.

Chanteurs, danseurs, acteurs, magiciens, plasticiens, adeptes des arts du cirque ou de performances freestyle, ils ont entre 12 et 20 ans et postulent pour le trophée Jeunes talents 2008.

Le trophée jeune talent " yountiss"

L'originalité du projet Trophée pour jeunes talents est qu'elle est venue d'un sportif professionnel , notamment un boxeur du boxing nazairien , en plus parmi les parrains et les jurys il y a aussi des boxeurs. Le trophée du vainqueur et une sorte de ceinture de champion comme celle des boxeurs, même la bande sonore de ce trophée porte le titre " tous boxeur ". En fait c’est la pure promotion de l'esprit positif de la boxe et des boxeurs . Ainsi donc la philosophie de Yountiss n'est ni plus ni moins que ceci :" on est tous boxeur dans ce monde-ci, chacun mène ses combats, mais cela doit se faire dans le respect des autres. Se comporter dans la vie comme on monte sur un ring, avec la rage, mais sans haine. Car celui qui laisse la haine le traverser, s’affronte lui-même avant tout. Peu importe l’issue d’un combat, la seule vraie victoire c’est l’acceptation du défi . »

Pour en savoir plus sur ce projet : http://www.trophee-jeunes-talents.com

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Auparavant, 15 candidats auront été présélectionnés. Ils assureront la première partie de soirée, avant de céder la place au rappeur parisien L'abbé Mase, à Jimmy Oihid, le « James Brown algérien », et au fameux groupe celto-after-punk-rock Breizoulou.

Parrainée par des personnalités des arts et du sport, aussi bien locales qu'internationales, notamment les chanteurs Delphine Coutant et Manu Beaudouin, le reggaeman Tiken Jah Fakoly, les boxeurs Osman Aktas, Stéphane Cazeaux et Mahyar Monshipour, le cycliste Jean-Cyril Robin, le volleyeur Khalid Satour, le metteur en scène-cascadeur Mike Carson ou le clown Jean Micheletty, l'opération s'achèvera par un grand spectacle public, le 4 novembre, salle Jacques-Brel.

Aussi la start du free style français "SéAN "

samedi 28 juin 2008

badre belhaja "trophée jeunes talents 2008 '"badre belhaja"


Le mardi 4 novembre, l'association jeunesse promotion attribuera le premier trophée jeunes talents. Badre Belhaja, Christophe Bonhomme et Pascal Bouquerel sont à l'origine de ce projet qui vise à promouvoir l'association Yountiss Jeunesse promotion et de soutenir des talents âgés de 12 ans à 20 ans. « Tous les jeunes qui pratiquent une activité dans un club, une association ou en solo peuvent s'inscrire » expliquent les organisateurs qui ajoutent « C'est un projet multiculturel ouvert à tous, que ce soit dans le sport, le chant, la danse ou les arts du cirque »
Il est possible de s'inscrire jusqu'au 17 septembre. Les dossiers d'inscriptions sont à retirer dans les maisons de quartiers. Suivront ensuite des pré-selections. Un jury composé de professionnels du sport, du spectacle et du milieu associatif de la jeunesse désignera les quinze sélectionnés qui se produiront le 4 novembre à la salle Jacques-Brel.
« A ce jour, une vingtaine de dossiers d'inscriptions ont été déposées et nous espérons recevoir beaucoup d'autres candidatures » Le trio d'organisateurs a reçu le soutien de sportifs de haut niveau comme le boxeur Mayar Monshipour et le cycliste Jean-Cyril Robin, de José Guedes journaliste à France 3 ; Jimmy Oihid (musicien), la chanteuse Delphine Coutant.
Pratique. L'inscription à ce trophée est de 2 €. Contact. Trophée Jeunes Talents 6, rue Jules-Busson ou par Email àyountiss@yahoo.fr

dimanche 24 juin 2007

le ring de la vie "badre belhaja"

Badre belhaja :

Je fais tout pour honorer mon pays et ma patrie
eMarrakech : Réussir à l'étranger ce qu'il a entamé au Maroc était une tâche assez difficile mais Badre Belhaja y est parvenu avec beaucoup de sagesse, une grande volonté de vaincre et une modestie exemplaire. Le jeune boxeur qui joue toujours avec les couleurs nationales marocaines, rêve de hisser le drapeau marocain lors d'un tournoi international. Entretien :

Votre parcours pour devenir un champion de la boxe fut-il sans embûches ?

Comme tous les sportifs marocains issus des quartiers de Casablanca j'ai vécu une carrière sportive pleine de difficultés. C'est avec la rage de vaincre et l'envie de m'en sortir que j'ai pu dépasser tous les moments difficiles. Et Même quand je suis arrivé en France pour boxer dans les rangs professionnels, j'ai eu des moments durs que je ne peux pas oublier durant toute ma vie. Heureusement que ça paye ! De toute façon je boxe toujours et j'espère contrôler toujours mes émotions avant et après le combat.



Pour vous la vie est tel un combat de boxe, doit-on compter sur la puissance physique ou sur le bon sens ?

Dans la vie, on est tous des boxeurs, soit on prend ou on donne des coups, soit on esquive en les évitant. Bien sûr, je précise que notre adversaire ce sont les soucis et les problèmes de la vie .Et Comme sur le ring , dans la vie il y a des techniciens et des bagarreurs ,des gagnants et des perdants , aussi ceux qui n'osent pas prendre le défit et ils abandonnent avant même de mettre les gants .Certes cette comparaison est difficile à comprendre mais je suis sûr qu' il y a des gens qui vont analyser cette philosophie de vie avec sagesse et non avec brutalité.


Dernièrement vous avez changé de cap et vous avez créé votre propre ligne de Vêtements sportifs « Yountiss », comment l'idée a germé jusqu'à son éclosion ?


L'idée est venue tout simplement par rapport à ma pratique de la boxe pro en France où les medias apportent une grande importance au sportif de haut niveau et même pour les amateurs. Avant je boxais pour quelque sponsor et ça ne me rapporte pas grand-chose pourtant j'avais une bonne image dans la ville. Alors, j'ai voulu profité de ce privilège affin de mettre en valeur mon propre produit. En plus, J'avais plein d'idées surtout quand j'ai accédé au domaine de l'animation socioculturelle et sportive j'ai pu acquérir un bon niveau de communication ainsi que des techniques de promotion et de sensibilisation de différents projets. A part l'aspect médiatique et technique mon parcours sportif m'a permis de Côtoyer pal mal de sportifs de de haut niveau , et qui ont accepté à porter mes tee- shirt ce qui m'a encouragé plus à prendre ce projet au sérieux



La marque « Yountiss »est-elle disponible sur le marché marocain ?


Au Maroc pas encore, en France ce n'est que le début de l'aventure, et mon projet c'est de collaborer avec un producteur marocain. Je distribue en France après on verra bien. Quels sont vos projets d'avenir ?



J'ai plein de projets et j'espère les réaliser avec la volonté de dieu, Sportivement, j'ai l'intention de boxer pour un titre international, et je profite pour déclarer à la fédération marocaine que je boxe toujours avec les couleurs nationales MAROACAINES et j'attend avec impatience une chance au Maroc pour disputer un titre international voire un championnat d'Afrique professionnel. Récemment, j'ai créé avec un ami d'origine marocaine l'association sitangym de boxe thaï qui est jumelée avec sitangym Rabat présidée par monsieur Lehcen Elhilali .L'objectif c'est d'organiser ensemble des rencontres franco-marocaines, ainsi permettre la mise en place des stages sportifs et des échanges culturels afin de renforcer le lien entre les jeunes marocains en France et leur pays d'origine. De même, j'organise le 23 juin avec mon associé garni Jawad, le président de l'association, et un promoteur thaïlandais un grand événement sportif. J'ai invité nos deux champions du monde marocain installés il y 3ans en Belgique Madani Tarique ,3 fois champion du monde et Hanin Abdel Hadi. Au Maroc, nous étions dans la même école de boxe pied point club elquods de Casablanca, sous l'encadrement de notre entraîneur Quotbi Moustapha. Cette invitation prouve qu'on est toujours en contacte, prêts à honorer notre patrie et notre pays.


Que diriez-vous à tous ces jeunes sportifs qui rêvent de vivre la même aventure que vous ?


Tout simplement je leur dit qu'il ne faut pas oublier qu'il y a quelqu'un qui veille sur nous tous, et qu'on ne doit pas avoir peur de prendre des risques et surtout taper dans toutes les portes et ne jamais compter sur une seule chose toujours s'armer avec plus de clefs possible, et tout travail mérite salaire voilà ce que je pense.
Propos recueillis par Nadia ESSAADI

mardi 22 mai 2007

un champion et une marque de champion

Badre Belhaja : des gants aux tee-shirt

Il est né au Maroc (comme Marcel Cerdan), Badre Belhaja (31 ans) est un boxeur de haut vol, installé à Saint-Nazaire. Avenant et combattif, il vous donne rendez-vous le 22 mai prochain à la Soucoupe* à Saint-Nazaire pour un titre de Coupe de France...



"J’aime quand les combats s’annoncent difficiles, cela me motive plus que jamais", confie Badre Belhaja, boxeur au Boxing Nazairien
L’homme est affable. Sympathique. Toutefois, il se dégage de lui une véritable force de caractère. De la volonté. Autrement dit, Badre Belhaja a tout de la personne avenante... mais il impose le respect. Comment en serait-il autrement du reste au vu de son parcours. Né à Casablanca, Badre Belhaja (31 ans) a pratiqué le karaté, le full contact, la boxe pieds-poings (trois fois médaillé en Championnat du Monde). Depuis l’âge de 17 ans il pratique le sport de haut niveau. A 25 ans il se met à la boxe anglaise : il sera même deux fois Champion du Maroc en boxe. Puis, en 2004, c’est la venue en France. Pour la boxe. "En 2003, suite à un combat test, le Boxing Nazairien lui propose un contrat et l’aide à s’installer en France. Salle de Porcé, encadré par Roland Cazeaux et son fils Stéphane, ses entraîneurs (l’un et l’autre champions de haut niveau), Badre Belhaja enchaîne les combats en catégorie mi-moyen. Il en gagne de nombreux avant la limite : "Ce type d’issue plaît au public nazairien", souligne avec humilité le boxeur. Après quelques mois d’uppercuts bien sentis, de crochets redoutables, de directs expéditifs, Badre Belhaja mesure l’importance d’avoir un (autre) métier, et qu’il n’y a pas que la boxe dans la vie. "J’avais du mal à me concentrer sur l’entraînement", reconnaît-il. C’est le spleen. Badre Belhaja fera une "pause" de 7 mois durant laquelle il se maintient en forme -mais sans mettre les gants. Il profite de ce "break" pour suivre une formation. "J’ai eu la chance de rencontrer des gens qui m’ont aidé pour cela, pour trouver ma voie", raconte Badre Belhaja, "j’ai donc décroché un diplôme dans l’animation culturelle et sportive via le sport, la boxe". De CDD en CDD, il finit par décrocher en février dernier un CDI avec l’Office Municipal de la Jeunesse de Saint-Nazaire. Depuis, le boxeur a totalement retrouvé sa motivation. D’autant plus que le 22 mai prochain, à la Soucoupe* de Saint-Nazaire, il affronte en Coupe de France, le triple champion Intercontinental Hamza Issa. "Ça me plaît. J’aime quand les combats s’annoncent difficiles, cela me motive plus que jamais", confie Badre Belhaja. Ce dernier souhaite en découdre. Il s’entraîne dur pour cela. "Quand on est bien préparé physiquement, on est bien dans sa tête", résume-t-il.


Badre Belhaja offre une écoute attentive à ses entraîneurs (ici Roland Cazeaux).
Badre Belhaja court le plus possible. Il met les gants presque chaque jour, soit pour un travail "au sac", soit pour des combats tests. Un face à face dans les cordes sans public, mais avec la même ferveur que pour défendre un titre. Pour Stéphane Cazeaux, "Badre a de nombreuses qualité, il est ambitieux, persévérant, rapide, il a le coup d’œil. Par ailleurs, ses crochets, à gauche comme à droite, ne manquent pas de punch. Aujourd’hui il travaille ses approches, son engagement dans le combat. Badre est un vrai pro, il sait apporter des idées nouvelles dans ses entraînements. Du coup, cela profite à tout le club".

Et l’avenir dans tout ça !

Salle de Porcé, Tubist Mendès, vainqueur du champion du Sénégal aux derniers Jeux Olympiques en catégorie plume (-57 kg), termine son échauffement ; l’heure de l’entraînement est entamée, mais Badre Belhaja continue de répondre aux questions. Il ne manifeste aucune impatience. D’une voix calme, chaleureuse, le boxeur évoque les valeurs qui lui sont chères : la famille, le travail, la réussite, l’intégration... "La vie c’est comme la boxe, il faut mener ses combats", explique-t-il, "Nous sommes tous des boxeurs face à la vie. Il ne faut pas reculer face aux défis, aux adversaires, même si l’on ne gagne pas ; car la vraie victoire, c’est l’acceptation du combat. Mais cela doit se faire avec le respect des autres. Quand on monte sur un ring comme pour grimper des échelons, cela doit se faire avec la rage, mais sans haine. Celui qui a la haine s’affronte lui-même avant tout et il s’effondre de lui-même ; il faut être zen dans la vie". Question sérénité, Badre Belhaja consolide son avenir. Il vient de créer sa propre ligne de vêtements et sa propre marque : Yountiss (YNS 76). Tee-shirts, avec ou sans manches, sweat-shirts, etc. dont certains sont floqués d’un boxeur les bras levés en signe de victoire. Une gamme originale et qui s’annonce comme une autre réussite pour le boxeur nazairien et qui lui permet de moins s’interroger sur son avenir. Pour l’heure, Badre Belhaja prend le temps de trouver les bons fournisseurs, les meilleurs partenaires (pour en savoir plus : 06 27 76 36 65 ou le 06 07 94 46 94, ou via un blog : cliquez ici). "Cette marque, c’est un grand défi, il est dur de vivre sans motivation", souligne Badre Belhaja. Déjà de nombreux sportifs d’autres clubs arborent les logos. Mais ils ne sont pas les seuls. En effet, Christophe Bonhomme du groupe nantais Breizoulou se pose aussi comme "ambassadeur" de la marque. "Christophe Bonhomme fait partie de ces types qui donnent naturellement envie de faire des choses, voire de prendre des risques. Avec Breizoulou, ce n’est pas du business, c’est de l’amitié". Puis, Badre Belhaja, remercie plusieurs fois de l’avoir écouté. Il met ses bandes, place ses gants et offre une écoute très respectueuse à ses entraîneurs. Quelques "jab" sur le sac, puis il prend la pause pour une photo, et s’enquiert plusieurs fois (avec humilité) pour savoir si vous êtes satisfait. Badre Belhaja est -aussi- champion en sympathie.

PB